Comme je vous le disais dans mon article sur ma PAL des vacances, j’ai lu il y a quelques semaines « Moi en mieux » de Dorothée Dereux. Le titre m’a tout de suite interpellé, car j’apprécie les témoignages, d’autant plus liés au développement personnel. Apprendre des expériences des autres est tellement enrichissant. J’y ai appris beaucoup et je comptais donc absolument vous partager cette lecture.
Le week-end mondial du bien-être se déroulera le week-end du 22 et 23 septembre partout dans le monde. En France, c’est plusieurs centaines d’établissements qui proposeront, gratuitement ou à petit prix, des ateliers bien-être en tous genres : sophrologie, yoga, cours de cuisine diététique, conférences avec des professionnels du bien-être… Une belle occasion, en ce temps crucial de la rentrée, de remettre les points sur les I pour prendre soin de soi et savoir s’écouter.
Cet article, je vais le rédiger particulièrement rapidement, car c’est le « mood » de la semaine. Je compte l’écrire comme si j’avais cette conversation de visu avec vous. A chaud.
Dans mon dernier article beauté naturelle, je vous parlais de comment je suis passée du gel douche au savon. Aujourd’hui, il est temps pour moi de vous partager mes savons coups de cœur, tous testés et approuvés. Peut-être en connaissez-vous déjà et dans le cas où vous n’êtes pas encore une adepte de la bonne vieille savonnette (terme que je ne devrais d’ailleurs surtout pas utiliser puisqu’à ce jour, le savon est devenu tendance pour ses qualités à la fois éthiques et écologiques, et n’est vraiment plus du tout has-been comme cela a pu être le cas il y a quelques années – enfin tout ça, je vous l’explique dans mon article cité plus haut *ça va pas trop longue l’apparté*), cela vous permettra de franchir le pas – peut-être et j’espère !
C’est l’histoire romancée de Bertille alias Bertilde, ton arrière-arrière-grand-mère. Je vais vous parler d’un livre très particulier. Ecrit par une personne que je connais : mon grand-oncle. C’est toujours une étrange aventure que de lire un livre d’un auteur que l’on connait personnellement (ce fût le cas lorsque j’ai lu le premier roman de Manon Lecor : Quand s’en ira la peur). Moi qui ne peut m’empêcher, comme devant un film, de réfléchir à la manière dont l’intrigue a été conçue, comment les images ou les mots défilent, explorer la mécanique de l’émotion, j’ai très souvent le créateur en tête lorsque je suis face à une oeuvre, et cette réflexion est d’autant plus spécifique lorsque l’on connait la personne.
